NOYELLES SUR ESCAUT
Un village fleuri où il fait bon vivre.
Le Village
Bienvenue à Noyelles sur Escaut.
Le 28 janvier 1968, Noyelles sur l’Escaut devient Noyelles sur Escaut.
A six kilomètres au sud-ouest de Cambrai, niché dans la vallée du Haut-Escaut, le petit village nordiste dans la région Hauts-de-France (Nord-Pas-de-Calais Picardie) fait partie du canton de Le Cateau-Cambrésis. Situé à 56 mètres d’altitude et voisin des communes de Cantaing-sur-Escaut et de Marcoing, il a su garder son caractère rural sans pour autant en oublier son développement.
787 habitants (recensement de 2012) que l’on appelle Noyellois et Noyelloises, résident sur la commune d’une superficie de 4.8 km².
Noyelles sur Escaut est traversé par le canal de Saint-Quentin et par le cours d’eau L’Escaut, le long duquel il fait bon se promener.
Les Armes de Noyelles sur Escaut.
“Burelé d’argent et d’azur de douze pièces”.
Les armoiries de la commune sont celles de la famille de Montigny de Glarges, seigneurs aux XIIe et XIIIe siècle.
L’origine du nom viendrait peut-être du latin nigella (nielle des blés), plante à fruits noirs et toxiques fréquente autrefois dans les céréales, ou du bas latin noor “noué”, (lieu bas souvent inondé).
Suite à la prospection effectuée en 1986, un site gallo-romain occupé autant de la première moitié du 1er siècle est découvert au lieu-dit Quartier du Roy.
On raconte que c’est en ce lieu appelé “Nigella” que l’on extrait en 1023 la pierre qui servit à la construction de l’église Notre-Dame de Cambrai et que dès 1064, on trouve un moulin appartenant à l’abbaye de Saint-Sépulcre.
En 1153, Noyelles a un château fort qui est brûlé et saccagé par l’évêque Nicolas de Chièvres, avec l’appui des bourgeois de Cambrai.
En 1336, les trois quarts de Noyelles quittent le Cambrésis pour l’Artois, suite au refus d’hommage de la dame d’Oisy à l’évêque de Cambrai.
Du XVe au XVIe siècle, Noyelles fait partie du domaine de Luxembourg.
De 1501 à 1537 Jacques de MONTIGNY-SAINT-CHRISTOPHE en fut le seigneur.
Dans sa lignée, c’est son fils Antoine de MONTIGNY de 1538 à 1562 puis de son petit-fils Georges, gouverneur de Bouchain et de Leiden (Hollande), de 1563 à 1593 à en être les Seigneurs.
C’est pendant cette période, le 9 août 1533, que le village est incendié par les troupes françaises et que par deux fois, en 1580 et 1595, l’armée espagnole campe dans le village.
Rachetée par la famille de France en 1600, la seigneurie connaît encore des vastes opérations de pillage en 1649 et en 1677, lors de différents sièges de la ville de Cambrai.
Rattaché à la France à cette date, le village doit encore subir le cantonnement des troupes du maréchal de Villars, en 1711, en un lieu qui deviendra le Quartier du Roy.
Hormis deux moulins à eau (un à farine et un à huile), une brasserie et une sucrerie, le village compte au siècle dernier peu d’entrepreneurs.
Pendant la Première Guerre Mondiale, Noyelles est occupé par les Allemands, pris par les Britanniques le 21 novembre 1917 et repris par les Allemands le 29 novembre et subit d’importantes destructions.
Dès 1947, une importante entreprise de matériel agricole s’étend sur le domaine de l’ancien château de Noyelles.
Il devient un lieu de stockage d’aliments composés pour la nutrition animale, contribuant au développement industriel du lieu.
Voici dix points à ne pas manquer lors d’une visite.
Eglise de la Nativité-de-la-Vierge – 1930.
L’église de la Nativité-de-la-Vierge, achevée en 1930, est due à l’architecte Aye, de Cambrai.
Elle remplace la précédente église de 1828, démolie pendant la Première Guerre Mondiale.
Cette église est construite avec des matériaux traditionnels de la reconstruction du Cambrésis : la brique et le ciment.
L’édifice comporte trois travées et un niveau qui s’élève au-dessus d’un soubassement en ciment.
A l’avant de la nef et des bas-côtés s’élèvent un petit porche et la tour du clocher.
Le porche entièrement recouvert de ciment s’ouvre sur une porte inscrite dans un arc en plein cintre. Cet arc retombe sur de petites colonnettes monolithiques semi-engagées dans le mur. La tour en brique avec retours en ciment s’élance vers le ciel et se termine par une corniche crénelée.
Le clocher polygonal en brique reçoit une toiture en ardoise et en poivrière. Une petite tour, percée de deux meurtrières, vient s’adosser à la tour de clocher. C’est la tour d’accès à la tribune et au clocher.
Les travées correspondant aux bas-côtés sont percées de deux baies jumelées en arc en plein cintre retombant sur des chapiteaux engagés.
Au-dessus, une corniche moulurée est décorée dans sa partie supérieure de denticules. Un fronton triangulaire décoré de pas-de-moineau aveugles s’interrompt au croisement avec la tour. Des contreforts en ciment soulignent les arêtes des murs.
Hors l’aspect religieux, elle accueille diverses manifestations notamment des représentations musicales.
Cet édifice a été totalement rénové et inauguré en 2013.
Ancienne malterie Solau – XVIIIe siècle.
Le village de Noyelles possède encore deux brasseries désaffectées :
La brasserie Soleau (fermée en 1969) et la brasserie Gautier-Pétriaux (fermée en 1943).
La commune a décidé de sauvegarder une infime partie de l’ancienne malterie Soleau, un bâtiment où alterne pierre blanche et brique et dont les contreforts sont en “rouge-barre”, pour accueillir la bibliothèque municipale.
La réhabilitation du bâtiment est due à Pierre Desairiquier, cantonnier.
Toutes les ouvertures de cette belle batisse en pierre du XVIIIe siècle sont soulignées d’un linteau mouluré,
elles sont au nombre de cinq en façade, dont deux portes.
Les contreforts encadrent une baie rectangulaire qui percent le pignon et viennent soutenir la bâtisse.
La robustesse et la simplicité donnent toute son élégance au bâtiment.
Vantellerie du moulin à farine.
Le moulin à farine blotti entre l’Escaut, dont les eaux bouillonnent en chute permanente, et l’abside de l’église paroissiale appartenaient au seigneur avant la Révolution, ainsi qu’en témoigne un document de 1731.
Le moulin jouxte un tordoir à huile qui cesse son activité en 1902.
Propriété de la famille Houdart, puis Doisy après 1880, le moulin cesse son activité en 1960.
En 1991, le moulin désaffecté est acquis par la commune qui démolit les parties en béton pour dégager la vue de l’église.
Ce moulin est impressionnant par ses dimensions puisqu’il est bâti sur quatre niveaux.
Les vestiges de l’impressionnante vantellerie témoigne de l’importance économique du lieu.
En 2003, le moulin est aménagé en huit logements.
Pont-Canal – De 1802 à 1810.
En amont de Cambrai, le canal de Saint-Quentin n’utilise pas le cours de l’Escaut, le laissant poursuivre sa course à ses côtés pour se croiser à Noyelles sur Escaut par un pont-canal.
Cet aménagement est d’autant plus spectaculaire que Noyelles sur Escaut est l’un des rares endroits où un canal passe au-dessus d’une rivière.
Ces aménagements sont réalisés sous la direction des ingénieurs des Ponts et Chaussée Antoine-Nicolas Gayant et Barnabé Brisson, lors de la création du canal de Saint-Quentin.
Depuis la création de “l’Activité Canoë”, il est possible de passer sous ce pont et donc de ce fait, passer sous le canal !
Beaucoup ont découvert ce lieu lors de l’inauguration du parcours canoë en juin 2014.
Casemates de la Première Guerre Mondiale 14–18.
Sur la route de Cantaing sur Escaut, quatre casemates voutées et fermées de grilles constituent des vestiges de la Première Guerre Mondiale.
Les casemates, modestement entretenues depuis plusieurs années, ont fait l’objet d’une restauration avec le nettoyage complet, la pose de grilles, la plantation de fleurs, ainsi que la mise en valeur de ces constructions historiques avec un éclairage.
Le centenaire de la Première Guerre Mondiale a favorisé la réalisation de ces travaux car n’oublions pas qu’elles font parties de l’histoire de Noyelles sur Escaut et de la bataille de Cambrai.
Un totem explique d’ailleurs un épisode de la Bataille de Cambrai et notamment le rôle des casemates de Noyelles sur Escaut. Non loin de la ligne Hindenburg, elles servaient d’abris à munitions.
« Les allemands y abritaient des munitions provenant des quais de déchargement situé aux abords du canal. Elles étaient acheminées au moyen d’une ligne de chemin de fer à ‘ voie étroite ‘ puis ensuite réparties dans ces abris bétonnés avant de rejoindre les tranchées de la ligne de front ».
Elles furent inaugurées le 11 novembre 2014 avec la présence du Flambeau de la Paix et du Drapeau du Centenaire.
Espace Daniel Leclercq.
En traversant le village nous serez obligé de détourner les yeux vers un terrain arboré et fleuri, il s’agit de l’espace Daniel Leclercq.
Cet endroit fait le bonheur des promeneurs qui aiment s’assoir sur un banc sous les arbres pour se protéger du soleil, des jeunes qui aiment gambader et s’en donner à cœur joie. Un terrain de futsal synthétique accueille de nombreux footeux.
Cet univers de verdure est utilisé lors de manifestations communales et associatives, (fête du village, chasse à l’œuf, jeux du 14 juillet…) et sous les arbres en face du kiosque, le rendez-vous des musiciens lors de la fête de la musique entre autres.
L’espace Daniel Leclercq fût inauguré en 2011 en présence, bien évidement, de l’ancien footballeur.
Etang Léon Masset.
Pour les pêcheurs, les promeneurs et tous ceux qui aiment la nature, l’étang Léon Masset est un endroit dès plus dépaysant où chacun trouve en ce lieu, un moment de calme et de sérénité au contact de cette nature si majestueuse.
Endroit où les Noyellois et extérieurs aiment se retrouver pour diverses animations comme la fête de l’eau, le feu d’artifice du 14 juillet, concours de pêche… bref un petit paradis.
Faire le tour de l’étang est un gage de paix des plus relaxant.
Lors du feu d’artifice, la lumière reflète sur l’eau, autre magie de ce lieu.
L’étang Léon Masset (maire de Noyelles sur Escaut de 1989 à 2010) a été inauguré en décembre 2010.
Chemin pédestre.
Le chemin pédestre de Noyelles sur Escaut fait parti du projet du « chemin de randonnée de Cantaing sur Escaut ».
La partie traversant Noyelles sur Escaut fait notamment une boucle qui passe par l’étang Léon Masset et longe un bras de l’Escaut à la découverte des résurgences. Des belvédères y ont étaient implantées afin de découvrir l’étendue de notre campagne et surplomber le cour d’eau.
Pour rejoindre la rue du 8 mai qui amène à la ruelle de la procession, une passerelle a été réalisée pour enjamber l’Escaut.
Tout au long du parcours, des panneaux ont été positionnés afin d’expliquer la faune et la flore que les promeneurs peuvent voir.
Le chemin pédestre a été inauguré en 2015.
Belvédères du parcours pédagogique.
Au nombre de deux, les belvédères donnent une touche particulière sur l’environnement offrant aux promeneurs une vue panoramique sur la campagne ou sur l’Escaut rivière.
Autre atout que présentent ces belvédères, les résurgences. C’est dans un bras de l’Escaut que l’on peut découvrir les résurgences et cela après un travail acharné de nettoyage de ce cours d’eau. Invisible avant et encore plus imprévisible après, le promeneur, en se positionnant sur l’un des belvédères, peut contempler ce phénomène naturel.
Des panneaux expliquent les détails de l’endroit où ils sont implantés, comme par exemple, les arbres et arbustes des rives de l’Escaut.
Verger et jardin pédagogique.
Suite aux fouilles archéologiques du terrain devant accueillir une nouvelle résidence, ces dernières, après diverses découvertes, ont interdit la construction sur certaines parcelles mises à la vente. De ce fait, et pour ne pas abandonner ce terrain, la municipalité a pris la décision de l’aménager en verger et jardin pédagogique pour les enfants de l’école Henri Matisse de la commune.
La municipalité, une fois acheté le terrain devenu non constructible, a mis tout en œuvre pour réaliser le projet.
Un grand panneau pédagogique (120x80cm) explique, à l’entrée du verger, l’intérêt du projet (maintien de variétés fruitières anciennes et régionales) et de communiquer sur l’opération Planton le décor.
Ce verger pédagogique comprend 66 arbres fruitiers (cerisiers, pommiers, prunier, poiriers). Le jardin tant qu’à lui, est prêt pour une future cueillette de potirons, tomates, citrouilles, carottes, côte de blette, salades…
Il fut inauguré en septembre 2015.
Voici dix points à ne pas manquer lors d’une visite.
Eglise de la Nativité-de-la-Vierge – 1930.
L’église de la Nativité-de-la-Vierge, achevée en 1930, est due à l’architecte Aye, de Cambrai.
Elle remplace la précédente église de 1828, démolie pendant la Première Guerre Mondiale.
Cette église est construite avec des matériaux traditionnels de la reconstruction du Cambrésis : la brique et le ciment.
L’édifice comporte trois travées et un niveau qui s’élève au-dessus d’un soubassement en ciment.
A l’avant de la nef et des bas-côtés s’élèvent un petit porche et la tour du clocher.
Le porche entièrement recouvert de ciment s’ouvre sur une porte inscrite dans un arc en plein cintre. Cet arc retombe sur de petites colonnettes monolithiques semi-engagées dans le mur. La tour en brique avec retours en ciment s’élance vers le ciel et se termine par une corniche crénelée.
Le clocher polygonal en brique reçoit une toiture en ardoise et en poivrière. Une petite tour, percée de deux meurtrières, vient s’adosser à la tour de clocher. C’est la tour d’accès à la tribune et au clocher.
Les travées correspondant aux bas-côtés sont percées de deux baies jumelées en arc en plein cintre retombant sur des chapiteaux engagés.
Au-dessus, une corniche moulurée est décorée dans sa partie supérieure de denticules. Un fronton triangulaire décoré de pas-de-moineau aveugles s’interrompt au croisement avec la tour. Des contreforts en ciment soulignent les arêtes des murs.
Hors l’aspect religieux, elle accueille diverses manifestations notamment des représentations musicales.
Cet édifice a été totalement rénové et inauguré en 2013.
Ancienne malterie Solau – XVIIIe siècle.
Le village de Noyelles possède encore deux brasseries désaffectées :
La brasserie Soleau (fermée en 1969) et la brasserie Gautier-Pétriaux (fermée en 1943).
La commune a décidé de sauvegarder une infime partie de l’ancienne malterie Soleau, un bâtiment où alterne pierre blanche et brique et dont les contreforts sont en “rouge-barre”, pour accueillir la bibliothèque municipale.
La réhabilitation du bâtiment est due à Pierre Desairiquier, cantonnier.
Toutes les ouvertures de cette belle batisse en pierre du XVIIIe siècle sont soulignées d’un linteau mouluré,
elles sont au nombre de cinq en façade, dont deux portes.
Les contreforts encadrent une baie rectangulaire qui percent le pignon et viennent soutenir la bâtisse.
La robustesse et la simplicité donnent toute son élégance au bâtiment.
Vantellerie du moulin à farine.
Le moulin à farine blotti entre l’Escaut, dont les eaux bouillonnent en chute permanente, et l’abside de l’église paroissiale appartenaient au seigneur avant la Révolution, ainsi qu’en témoigne un document de 1731.
Le moulin jouxte un tordoir à huile qui cesse son activité en 1902.
Propriété de la famille Houdart, puis Doisy après 1880, le moulin cesse son activité en 1960.
En 1991, le moulin désaffecté est acquis par la commune qui démolit les parties en béton pour dégager la vue de l’église.
Ce moulin est impressionnant par ses dimensions puisqu’il est bâti sur quatre niveaux.
Les vestiges de l’impressionnante vantellerie témoigne de l’importance économique du lieu.
En 2003, le moulin est aménagé en huit logements.
Pont-Canal – De 1802 à 1810.
En amont de Cambrai, le canal de Saint-Quentin n’utilise pas le cours de l’Escaut, le laissant poursuivre sa course à ses côtés pour se croiser à Noyelles sur Escaut par un pont-canal.
Cet aménagement est d’autant plus spectaculaire que Noyelles sur Escaut est l’un des rares endroits où un canal passe au-dessus d’une rivière.
Ces aménagements sont réalisés sous la direction des ingénieurs des Ponts et Chaussée Antoine-Nicolas Gayant et Barnabé Brisson, lors de la création du canal de Saint-Quentin.
Depuis la création de “l’Activité Canoë”, il est possible de passer sous ce pont et donc de ce fait, passer sous le canal !
Beaucoup ont découvert ce lieu lors de l’inauguration du parcours canoë en juin 2014.
Casemates de la Première Guerre Mondiale 14–18.
Sur la route de Cantaing sur Escaut, quatre casemates voutées et fermées de grilles constituent des vestiges de la Première Guerre Mondiale.
Les casemates, modestement entretenues depuis plusieurs années, ont fait l’objet d’une restauration avec le nettoyage complet, la pose de grilles, la plantation de fleurs, ainsi que la mise en valeur de ces constructions historiques avec un éclairage.
Le centenaire de la Première Guerre Mondiale a favorisé la réalisation de ces travaux car n’oublions pas qu’elles font parties de l’histoire de Noyelles sur Escaut et de la bataille de Cambrai.
Un totem explique d’ailleurs un épisode de la Bataille de Cambrai et notamment le rôle des casemates de Noyelles sur Escaut. Non loin de la ligne Hindenburg, elles servaient d’abris à munitions.
« Les allemands y abritaient des munitions provenant des quais de déchargement situé aux abords du canal. Elles étaient acheminées au moyen d’une ligne de chemin de fer à ‘ voie étroite ‘ puis ensuite réparties dans ces abris bétonnés avant de rejoindre les tranchées de la ligne de front ».
Elles furent inaugurées le 11 novembre 2014 avec la présence du Flambeau de la Paix et du Drapeau du Centenaire.
Espace Daniel Leclercq.
En traversant le village nous serez obligé de détourner les yeux vers un terrain arboré et fleuri, il s’agit de l’espace Daniel Leclercq.
Cet endroit fait le bonheur des promeneurs qui aiment s’assoir sur un banc sous les arbres pour se protéger du soleil, des jeunes qui aiment gambader et s’en donner à cœur joie. Un terrain de futsal synthétique accueille de nombreux footeux.
Cet univers de verdure est utilisé lors de manifestations communales et associatives, (fête du village, chasse à l’œuf, jeux du 14 juillet…) et sous les arbres en face du kiosque, le rendez-vous des musiciens lors de la fête de la musique entre autres.
L’espace Daniel Leclercq fût inauguré en 2011 en présence, bien évidement, de l’ancien footballeur.
Etang Léon Masset.
Pour les pêcheurs, les promeneurs et tous ceux qui aiment la nature, l’étang Léon Masset est un endroit dès plus dépaysant où chacun trouve en ce lieu, un moment de calme et de sérénité au contact de cette nature si majestueuse.
Endroit où les Noyellois et extérieurs aiment se retrouver pour diverses animations comme la fête de l’eau, le feu d’artifice du 14 juillet, concours de pêche… bref un petit paradis.
Faire le tour de l’étang est un gage de paix des plus relaxant.
Lors du feu d’artifice, la lumière reflète sur l’eau, autre magie de ce lieu.
L’étang Léon Masset (maire de Noyelles sur Escaut de 1989 à 2010) a été inauguré en décembre 2010.
Chemin pédestre.
Le chemin pédestre de Noyelles sur Escaut fait parti du projet du « chemin de randonnée de Cantaing sur Escaut ».
La partie traversant Noyelles sur Escaut fait notamment une boucle qui passe par l’étang Léon Masset et longe un bras de l’Escaut à la découverte des résurgences. Des belvédères y ont étaient implantées afin de découvrir l’étendue de notre campagne et surplomber le cour d’eau.
Pour rejoindre la rue du 8 mai qui amène à la ruelle de la procession, une passerelle a été réalisée pour enjamber l’Escaut.
Tout au long du parcours, des panneaux ont été positionnés afin d’expliquer la faune et la flore que les promeneurs peuvent voir.
Le chemin pédestre a été inauguré en 2015.
Belvédères du parcours pédagogique.
Au nombre de deux, les belvédères donnent une touche particulière sur l’environnement offrant aux promeneurs une vue panoramique sur la campagne ou sur l’Escaut rivière.
Autre atout que présentent ces belvédères, les résurgences. C’est dans un bras de l’Escaut que l’on peut découvrir les résurgences et cela après un travail acharné de nettoyage de ce cours d’eau. Invisible avant et encore plus imprévisible après, le promeneur, en se positionnant sur l’un des belvédères, peut contempler ce phénomène naturel.
Des panneaux expliquent les détails de l’endroit où ils sont implantés, comme par exemple, les arbres et arbustes des rives de l’Escaut.
Verger et jardin pédagogique.
Suite aux fouilles archéologiques du terrain devant accueillir une nouvelle résidence, ces dernières, après diverses découvertes, ont interdit la construction sur certaines parcelles mises à la vente. De ce fait, et pour ne pas abandonner ce terrain, la municipalité a pris la décision de l’aménager en verger et jardin pédagogique pour les enfants de l’école Henri Matisse de la commune.
La municipalité, une fois acheté le terrain devenu non constructible, a mis tout en œuvre pour réaliser le projet.
Un grand panneau pédagogique (120x80cm) explique, à l’entrée du verger, l’intérêt du projet (maintien de variétés fruitières anciennes et régionales) et de communiquer sur l’opération Planton le décor.
Ce verger pédagogique comprend 66 arbres fruitiers (cerisiers, pommiers, prunier, poiriers). Le jardin tant qu’à lui, est prêt pour une future cueillette de potirons, tomates, citrouilles, carottes, côte de blette, salades…
Il fut inauguré en septembre 2015.